Mille mots?
Le chapitre 2 est déjà terminé. Ça a bien été.
Par un calcul très savant, avec des cosinus et des hypothénuses, j'en suis venu à la somme suivante: Il m'a fallu deux fois plus de pages en BD qu'il n'y en avait dans le chapitre 2 du livre afin de bien raconter l'idée voulue.
1 page/livre = 2 pages/BD
Hum... cela m'a soudainement fait réfléchir à Confucius....
Logiquement, si le livre a, en moyenne, 300 mots par page. Que, dans la BD, il y a une moyenne de 2.5 images par page. Qu'il me faut 2 pages (donc 5 images) pour résumer une page de texte. Cela veut donc dire qu'une image vaut l'équivalent de soixante mots.
1 image = 60 mots !
On comprends tout de suite pourquoi Confucius n'a jamais été reconnu comme un grand mathématicien!
Calcul Confus... (cius)
On est donc très loin du millier prévu par son adage. Dommage, car dans ce cas il m'aurait seulement fallu une quinzaine de pages pour raconter toute l'histoire du livre.
:-(
Allez, c'est pas grave, ça prendra juste un peu plus de temps, et ça fera une plus longue histoire. Tiens, voici une image de tempête toute québécoise, qui sera éventuellement appropriée en ce mois de janvier 2010.
Libellés : La Mort Malheureuse
2 Comments:
Dois-je te rappeler qu'il y a maintenant quelques années tu avais adapté "l'étranger" de Camus en seulement 3 cases...
BSK:
lol!
Oui, absolument. Et le "Nouveau Testament", et même "Guerre et Paix". Ah, mais c'était là une toute autre époque... ;-)
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