samedi, février 23, 2008

Pour bien y "VOIR"

Notre "fanzine-Album" fait un tabac!
Héhéhé, PhlppGrrd et moi avons été victime d'une autre critique. Ça fait vraiment du bien de voir que notre travail fait un peu parler de lui. Et surtout en bien. Cette fois-ci c'est dans le VOIR de cette semaine (Québec et aussi Montréal , si je ne m'abuse).
M. Éric Paquin nous fait là un plaisir immense: Des cinq livres critiqués cette semaine, deux romans, un essai, un recueil de nouvelles et une BD (Danger Public... la nôtre!) c'est la BD qui obtient la plus haute cote (**** 1/2).
Cool non?
Déjà que nos deux étoiles (sur trois max) dans Bodoï était pas mal, là c'est le bouquet. Quatre étoiles et demie. C'est très flatteur. Et comme ça arrive pas tous les jours, bin on va juste un petit peu se permettre de s'enfler la tête avec ça, Phil et moi. Mais juste un ti-peu là. Pas trop ;-)

Alors quand je vous dit qu'il vous faut absolument aller acheter et lire "Danger Public":
http://www.voir.ca/publishing/article.aspx?zone=2&section=10&article=56711
Et toutes les autres:
http://www.lapasteque.com/Presse/Pages/Danger_public.html

Lancement
J'étais au lancement de Djief vendredi. Il y avait plein de monde intéressant. C'était super. Vous l'avez manqué? Pas grave: son album est encore en magasin et il est sublime. Courrez-y!

lundi, février 18, 2008

Lancement Djief !

C'est ce vendredi-ci, entre 18h30 et 21h00 à l'incontournable librairie L'Imaginaire à Place Laurier, que se déroulera le lancement tant attendu du Crépuscule Des Dieux, second tome de la saga Wagnérienne mise en image par nul autre que notre grand maître à tous, Djief.

Alors venez nombreux pour vénérer comme il se doit ce talentueux mais par trop humble mutant de l'image avec nous. Il y aura plein d'auteurs de Québec et d'ailleurs qui viendront porter des oboles à leur divin messie. C'est un rendez-vous à ne manquer sous aucun prétexte.

Et moi, j'ai déjà lu le bouquin... Nananananana! ;-)

dimanche, février 17, 2008

Une critique (encore!)

Je reçoit de Djief, à l'instant, un courriel me mentionnant qu'il y a une critique positive de Danger Public dans le BODOÏ de janvier. Alors la voici:
Pour les bigleux, cliquez pour agrandir!
Hé bien si je m'attendais à ça! Merci Djief. Et surtout (et encore) merci à Phil pour ce scénario trop bien ficelé.

Vendredi soir... lancement

Dans mon dernier message, j'invitais les gens à venir au lancement du livre de Mira Falardeau "Histoire de la Bande dessinée au Québec".

Pourquoi?
Pour l'occasion de se retrouver ensemble, discuter, rigoler et montrer que la BD est bel et bien vivante à Québec. Et parce que les gens qui écrivent sur la BD, au sujet d'autre chose qu'Hergé/Tintin se comptent sur les doigts d'une main, alors il faut le souligner.


Bon, les auteurs présents n'étaient pas légion. Il y avait bien quelques légendes: Côté, Fournier, Gaboury, Siris, Pageau (sic). Il y avait cette ambiance de joie autour du fait que le labeur de ces auteurs allait enfin être reconnu.
Chez les "jeunes auteurs", on y a rencontré PisHier et Petr (et moi même, le pourquoi des guillemets).

Le livre
Je n'ai pas encore lu la totalité du livre, alors loin de moi la volonté d'en faire une critique complète. Toutefois, en tant qu'individu légèrement égocentrique et orgueilleux, j'ai tout de suite été voir les paragraphes me concernant (et qui d'autre n'en ferait pas de même, je vous le demande!).
Or, m'y attendait un étrange sentiment d'euphorie acidulée aux arrières goûts de déception.

Historique
Mme. Falardeau m'a envoyé un e-mail me demandant la permission d'utiliser une de mes pages dans le livre. Demande à laquelle j'ai acquiescé avec joie (elle me proposait une page de Motus! je lui ai dit préférer une page de Morlac, car plus récent, elle me demanda de lui en envoyer une, je ne le fit pas (par oubli) et Motus! ce fut).


Ce qui me peine c'est que, me joignant par courriel concernant l'image, il lui aurait été si facile d'y joindre le texte me concernant afin que je puisse en réajuster le tir avant l'irréversible impression finale. Elle aurait d'ailleurs pu le faire pour la majorité des auteurs (je ne suis peut-être pas le seul a avoir été involontairement malmené) de façon à produire un ouvrage de référence complet et surtout impeccable. Mais ce ne fut pas le cas. J'ai donc découvert le texte décrivant mon travail une fois le livre imprimé.

Les risques d'une telle entreprise
Dès les pages de garde du livre, L'auteure s'empresse de préciser:

Si quelques petites erreurs de dates ou de titres ont pu se glisser dans ce livre, veuillez m'en excuser à l'avance, les sources étant en BD à l'image de leurs auteurs: fantaisistes, et imaginatives, quoique éminemment conviviales.
Hébien voilà, c'est dit. Or je lui pardonnerai donc les erreurs de dates et de titres. Mais seulement celles-là, hein! ;-)

Dégustons donc la chose
Tout d'abord, le fait de figurer dans la section Les Fanzines plutôt que dans la section Les Albums est un joli camouflet.

Je respecte énormément les fanzines, j'y ai oeuvré ma part avec joie et en reste un grand lecteur. Cependant, je considère désormais mon travail comme un travail d'auteur. Je me voyais donc dans la section Les Albums- La BD d'auteur, au côté des André-Philippe Côté, Line Arsenault, Michel Rabagliati, Jimmy Beaulieu et Eva Rollin.
Que nenni. On me relègue à la section Fanzines-Albums.

Dans le livre, la définition qui y est donnée de fanzine est très jolie:
Oxygène de la BD, le fanzine permet au créateur de se ressourcer et d'exprimer une parole plus personnelle, hors des sentiers battus. Fanzine semble donc signifier tout ce qui sort de la définition traditionnelle d'histoire séquentielle au récit linéaire logique avec phylactères dans les cases, le tout imprimé en couleur et, idéalement, avec un style européen bien léché.
Pour moi, fanzine est synonyme d'auto-publication. Ce qui n'est plus mon cas depuis Villégiature en 2000 (dont l'histoire principale avait été créee exprès pour le livre) d'où mon sentiment d'être listé au mauvais endroit.

Memories...
Le soir de son lancement, Mme. Falardeau me rappela que nous avions dédicacés côte à côte au festival de BD en 2001. Elle venait de lancer La Mercière Assassinée et moi Villégiature. Au lancement, j'ai omis de lui dire qu'elle m'avait, cette journée là en dédicaçant, donnée la première d'une série de baffes qui se poursuit aujourd'hui, car elle m'avait alors dit: "Ça a l'air bien ton livre, mais comme le texte est inscrit sous les cases, ce n'est pas de la bande dessinée."
Jadis, je m'étais retenu de lui dire ce que je pensait de sa vision étroite, passéiste et réductrice de ce que devrait être, selon elle, la bande dessinée. Et je me suis encore retenu à son lancement. Je suis zen, non?

Allez, foin d'orgueil, acceptons la chose avec humilité: j'ai beau me targuer d'être un auteur, je dis parfois bédéiste puisque le terme existe (même s'il est décrié par plusieurs auteurs qui le trouvent infantilisant), mais en fait, dans l'univers de Mme. Falardeau, je ne suis qu'un fanzineux publié.

Fanzine-album... soit! Un peu de papier collant et l'égo a encore l'air presque neuf.

Le texte
Je vais donc passer au crible ce qui est mentionné dans le livre à mon propos et le commenter au fur et à mesure (texte du livre en bleu, commentaires en rouge):

Les fanzines actuels
(titre du bloc de texte)

Les fanzines-albums (sic) des Éditions de La Pastèque et de Mécanique Générale s'accordent aux tonalités actuelles, écriture aiguë et dessins toujours près du graffiti.
(Aie, ça part sur les chapeaux de roues! Je suis convaincu que les éditeurs de La Pastèque, perfectionnistes et esthètes du livre en tant que bel objet et du design graphique d'Avant Garde vont apprécier. Quant à Mg, comme Jimmy Rouleau est cité dans la section BD d'auteur tout ira bien. Mais généraliser "dessin près du graffiti" pour l'ensemble du catalogue de ces deux maisons d'édition est un jugement de valeur très subjectif. Au moins, les graffitis deviennent de plus en plus beaux et artistiques)


Éric Asselin (pseudonyme Leif Tande) (né en 1969) - 6 albums - a publié dans les revues Tabasko! et Spoutnik.
(La première partie est toute vraie, je l'avoue... ça me donne 38 ans, bientôt 39! Mais j'ai 9 albums à mon actif et j'étais l'éditeur en chef de Tabasko! que j'avais eu l'idée de fonder avec Phlpp Grrd, et auquel on a demandé à Djief de participer à titre d'auteur vedette)

Il se situe dans une trajectoire artistique précise, ...
(C'est super gentil, mais inapproprié: J'ai fait deux compilations de courtes histoires, trois pseudo livres pour enfants, deux livres muets, deux adaptations de textes ou romans, un livre expérimental... mon cheminement artistique est un cafouillis total! À mon plus grand plaisir!)


... travaille sa case comme un tableau, s'inspire du rendu de la gravure avec ses creux et ses zones sombres.
(Ah, mais c'est une belle prose que celle là; mais est-ce véridique? Je travaille rapidement, minimalement, mes dessins sont naïfs aux traits intentionellement mal dégrossis, maladroits et triturés... selon moi et aussi selon le CALQ, qui a déclaré: "Le dessin de Leif manque de souplesse et de maturité alors il n'ira pas au lancement de son album à Paris (le con)". Mais c'est tout subjectif ça. Alors comme c'est bien écrit, ce doit être vrai que je fais des dessins aux accents de gravures.)

Lorsqu'il utilise des couleurs, elles scintillent à cause de la luminosité particulière qu'il sait donner à l'ensemble.
(C'est probablement le texte le plus élogieux et le plus poétique que j'ai lu à propos de la bande dessinée. Quelle belle plume... mais ça s'adresse à qui?
J'AI AUCUN (fanzine-)ALBUM EN COULEUR!!! Je ne travaille qu'en noir et blanc! J'ai fait quelques pages en couleur dans la revue Kamikaze, et j'ai coloré mes cadres du Panda pour le fun... C'est tout. Ce n'est pas du tout significatif dans mon oeuvre! C'est du tout noir et blanc avec frottis et/ou tons de gris! Je comprends plus, moi).

Rares sont les bédéistes qui arrivent à un tel niveau esthétique, et c'est la raison de sa popularité.
(Sérieusement, j'apprécie ÉNORMÉMENT ce barrage de compliments. Mais chaque phrase me donne l'impression qu'elle a été écrite pour quelqu'un d'autre que moi et mes trucs. "Esthétique"? Je dis plutôt naïvité et spontanéité, peut être... points de vue inhabituels, images au trait organiques, passe encore, mais "esthétique"?
Et "popularité"? C'est très TRÈS excessif. Fussais-je populaire, j'en saurait quelque chose, non? Ou suis-je seul à l'ignorer?)

S'en suit alors une bibliographie que je vous présente ici:
Villégiature (Zone Convective, 2000) (exact) Le Boxeur (Zone Convective, 2002) Non. Mano-Blanco Comix, 2002! Motus! (Mg, 2002), Pando le Panda (La Pastèque, 2003), ici on oublie Le Poulpe: Palet Dégueulasse (adaptation du roman du même nom de Michel Dolbec, Six Pieds Sous Terre, France, 2004) merde, mon seul album édité en Europe!, Morlac (La Pastèque, 2005), William (Mg, 2006) et ici on oublie complètement Danger Public (sur un scénario de PhlppGrrd, La Pastèque, 2007) sont autant de fanzines-albums (encore! Allez j'aime ça, Fouette! Fouette!) dont les propos ocillent étrangement entre morbidité et quotidienneté. (Pas mal vu celle là. J'avoue.) À l'opposé de ce discours extrême, il parle aux enfants dans Le Canard et le Loup (La Pastèque, 2007). (Ouais, faut pas l'avoir lu pour dire ça, mais bon c'est pardonnable non?)

Conclusion
En conclusion, malgré que le texte me concernant soit hautement élogieux, aucune des qualités qui y sont soulignées ne semble convenir à mon travail. J'en tire deux suppositions: soit Mme. Falardeau n'a rien lu de ce que j'ai fait (on ne peut quand même pas avoir tout lu la BD québécoise pour en faire un livre, quand même) ou elle n'aime juste pas ça mais écrit le contraire, avec toute la bonne volonté dont elle est capable. C'est gentil, mais ça sonne faux.

En fin de compte, j'aurais juste aimé que quelqu'un qui fait un livre sur l'histoire de la BD au Québec prenne le temps de soumettre ce qu'elle a écrit à propos des auteurs à ceux qui sont rejoignable, afin de s'assurer de la justesse et de la véracité du contenu. De cette façon, la petite postface d'excuses n'aurait pas eu besoin d'être.

J'ai bien hâte de lire le reste, et j'ai l'impression qu'en ce qui concerne les bédés des années 70-80-90, ce sera vraiment intéressant comme ouvrage d'hommage et de référence.

Il ne faut surtout pas oublier le BDQ 2000 de Michel Viau, qui demeure un incontournable. On espère d'ailleurs une refonte éventuelle: BDQ 2010?

dimanche, février 10, 2008

2 critiques, 1 lancement, 0 nouveau

LA PRESSE
En ce dimanche de février, où les nuages viennent encore un fois de déposer un épais manteau blanc dans mon entrée, deux nouvelles critiques de Danger Public nous arrivent. La première, dans La Presse, sous la plume de Stéphanie Morin. Voir au lien ci-dessous.

http://www.cyberpresse.ca/article/20080210/CPARTS02/802100637/1059/CPARTS02

Stéphanie Morin semble presque avoir lu ce blog (ou mes pensées) car, dans son article, elle fait la belle part à Philippe, auteur de l'idée et du texte du récit, ce qui est fort justifié. Les scénaristes passent trop souvent dans l'ombre des dessinateurs, pourtant leur travail est primordial: combien de superbes livres, très finement dessinés avons-nous cessé de lire à la moitié tant l'histoire était prévisible, pauvre ou controuvée.

Sa comparaison à du Tarantino est osée: on compare allègrement les films à de la BD (malheureusement trop souvent pour les rabaisser) mais bien peu souvent la bande dessinée à son grand frère. Enfin, la comparaison concernait surtout le taux d'hémoglobine et, de ce côté, c'est fort à propos.

Un très bon article, donc.

BANGBANG
Une deuxième critique, celle-ci dans le BANGBANG du mois de janvier, a été soumise à mon attention par mon bon ami Charles, qui se fait trop rare par les temps qui courent.

BANGBANG est une revue gratuite, surtout axée musique, qu'on peut se procurer principalement dans les boutiques de musique et de livres, mais aussi dans certains resto et bars branchés sur la musique.

Cette critique n'est pas signée, mais l'auteur y apporte un bémol intéressant: il dit que le format du livre eût pu être plus petit sans que l'efficacité de la lecture n'en soit diminuée.


La dimension de reproduction ici est près de 100% de l'original. De plus, mon dessin est assez minimaliste pour limiter les trop petits détails. Et mes philactères sont tout de même d'une bonne grosseur. L'histoire aurait bien pu être imprimée dans un format plus petit... mais force est d'admettre que plusieurs fois, mon travail s'est retrouvé un peu coincé dans des formats trop petits où se perdaient subtilités et détails.
Toute critique ayant son revers, on m'a plusieurs fois parlé de cet album comme de celui où on pouvait enfin bien voir les images. Je trouve personellement que c'est bien, parfois, d'avoir l'espace pour faire respirer les dessins.

Alors, vous, qu'en pensez-vous?

Lancement
Courriel reçu en rapport au lancement du livre Histoire de la bande dessinée au Québec:

Vous êtes cordialement invités au lancement du livre Histoire de la bande dessinée au Québec de Mira Falardeau qui vient de paraître chez VLB Éditeur, le vendredi 15 février 2008 à partir de 17 heures 30 à la Librairie Pantoute du Vieux Québec, 1100, rue St-Jean.

Une occasion en or de se retrouver tous ensemble, anciens et nouveaux bédéistes ! Une invitation toute spéciale à nos amis bédéistes de Montréal : on a fait ça un vendredi pour que vous puissiez venir fêter avec nous et aussi profiter du Carnaval qui bat son plein !

Quant au reste
Janvier est déjà loin. Angoulême s'est encore une fois passé de ma présence et j'en suis toujours un peu plus peiné. Faire de la bande dessinée dans son sous-sol est une activité plaisante, mais comme toute forme d'expression, un des désir de l'auteur est de rencontrer son public, évidemment, mais aussi de rencontrer ses pairs.

Les salons et festivals québécois sont fantastique pour ce qui est de rencontrer le public et les amis bédéistes d'ici. Parfois, un ou deux auteurs européens se joignent à la fête et il est bon partager avec eux. Mais rien ne vaut la chance d'aller outremer, là où la BD est reine, et se payer une semaine d'excès bédéistiques.

Je m'ennuie un peu de placotter de tout et de rien avec des auteurs français, belges et suisses. J'ai bien hâte de retourner en Europe, pour un festival ou un salon de BD. Qui sait, à l'automne peut-être?

Mais alors, je fais quoi?

J'ai l'air de ne rien faire, ces temps-ci, et c'est partiellement vrai. J'ai quelques petits projets en chemin:

  • Un est au deux tiers terminé... mais je ne sais pas s'il vaut de l'être entièrement.
  • Un autre est terminé. Il n'a que les philactères de manquant... mais il est trop vieux et ne m'intéresse plus beaucoup.
  • Un autre en est à la centième page aujourd'hui... mais n'est pas voué à la publication. En tout cas, pas pour tout de suite... Vous verrez bien!
  • Deux autres mijottent dans mes circonvultions et n'aboutissent toujours pas sur le papier.
  • Et finalement, il y a un collectif dans l'air... mais les projets à plusieurs auteurs ont tendance à s'éterniser.

Alors, un album en 2008, me demandez-vous? Je ne saurais trop dire. On verra. «:-)

samedi, février 02, 2008

Le Danger est en face!

Hé bien après un petit silence radio de quelques mois, il y a eu une, puis deux, puis maintenant quelques autres critiques (dont une de France, sur Canal BD). Ah, ça fait du bien tout de même. Et qui plus est, les critiques sont plutôt positives.

Pour lire les critiques, répertoriées sur le site de La Pastèque, cliquez ici:
http://www.lapasteque.com/Presse/Pages/Danger_public.html

Il y a beaucoup de beaux livres qui s'en viennent chez cet éditeur québécois fort dynamique. N'hésitez pas à aller fouiner sur leur site:
http://www.lapasteque.com/

On m'informait justement que Danger Public vient d'être mis à l'office en Europe (d'où la critique mentionée précédemment). Et voilà, le Danger est chez les voisind d'en face.

PHLPP GRRD
Voyons donc voir comment les frangins apprécieront la prose de Phlpp qui est la pierre angulaire de cet ouvrage. Qu'on se le tienne pour dit (et qu'on l'écrive en lettres d'or dans les éventuelles critiques, stp) sans le superbe texte de Phlpp Grrd, cet album ne serait rien. C'est son texte génial qui a tout fait.

À preuve: est-ce que je suis le genre de type à faire une histoire sur un coiffeur moi? La Mort, bien sûr. Satan, passe encore. Mais un coiffeur! Non. C'est donc un ode à la plume phénoménale de Phlpp que l'existence ce livre. Son texte a sû me convaincre que ce simple coiffeur cachait une destinée hors du commun.

Merci encore, Phlpp.

Niouzes
Pour l'instant, que du vieux. J'ai plein de projets, mais il me faudrait trois têtes et huit bras (ou une bourse du CALQ ou du CAC) afin de pouvoir plancher paisiblement sur ceux-ci. Sinon, les enfants, la famille et le travail demeurent mes principales priorités (Il faut bien aimer et se nourrir avant de se faire plaisir, non?). Alors dès que j'embarque sur un nouveau truc, vous le saurez tout de suite.
Ce qui est un mensonge, car je travaille déjà sur un petit truc, mais je n'en dis pas plus pour l'instant. Oh, vous verrez bien... :-)